Camus: Le Malentendu

• Zusammenfassung Szene 4 (Referat)
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• Der Text widergibt in weiten Teilen die persönliche Meinung, Interpretation und Sicht des Autors
• September 1991 / Gymnasium Liestal (Schweiz)
• Andi Jacomet, damals 19-jährig
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Résumé de la scène IV

Pour commencer le résumé da la dernière scene qu'on avait lu ensemble, ça veut dire, la scène 4 a partir de la page seize, j'ai choisi 4 mots qui ne sont pas indiqués sur les dernières pages du bouquin et dont on pourrait parler juste pour deux, trois minutes - je crois que le reste du vocabulaire que nous ne connaissons pas est décrit assez bien dans le livre - s'il y a quand-même des questions, je vous prie de les poser maintenant...

...sinon, on passe aux 4 mots dont j'ai déjà parlé - vous en trouvez trois à la page dix-huit; le premier mot se trouve sur la ligne dix...

(reste du vocabulaire)

Passons maintenant au résumé.

Dans cette quatrième scène, Maria fait les derniers essays à empêcher Jan de rester dans la maison de sa mère et soeur - mais elle ne succède pas. Elle ne veut pas du tout rester en cet endroit parce qu'elle ne s'y sent pas du tout bien, mais elle ne trouve aucun moyen de le faire venir avec elle.

Après que le vieux domestique a traversé la pièce, Jan et Maria commencent de nouveau de parler. Jan veut qu'elle parte - il a peur que, si elle restait, elle dirait à la mère qu'il est. Comme cette nuit est la première dans les cinq ans qu'ils sont mariés qu'ils seront séparés, Maria a peur. Elle semble déjà sentir que quelque chose n'est pas en ordre avec cette maison: "Mais ici, j'ai peur de ce lit désert où tu me renvoies et j'ai peur aussi que tu m'abandonnes" (p.17, l. 7)

Jan ne voit pas de problème dans ce qu'il va faire - il répond qu'elle est puérile et qu'il doit tenir une parole bien que Maria veuille rentrer d'où ils sont venus où ils étaient heureux. Quelle parole Jan doit exactement tenir, on va lire ensemble à la page dix-sept, c'est à partir de la ligne 24... (dura jusqu'à page 18, ligne 21)

Jan dit que c'est ne pas une grande affaire de coucher sous le toit de sa mère et qu'il veut rendre heureux tout ce qu'il a aimé. Maria se doute de la méthode de Jan, mais celui-ci se défend en disant qu'il a choisi le bon chemin de trouver s'il a raison d'avoir ses rêves. "je finirai par trouver les mots qui arrangeront tout." (p19/l.4)

Les derniers arguments de Maria ne peuvent non plus empêcher Jan de rester. Il ne croit pas que c'est quelque chose de redoutable de rester pour une nuit avec sa mère et soeur. La scène finit par Maria qui part en montrant ses mains vides et disant "Vois comme je suis démunie". - Ce moment devient encore plus tragique et triste si on sait que les deux ne vont jamais plus se revoir.

On peut mainentant se poser la question pourquoi Maria est tellement assuré de devoir convaincre Jan de ne pas rester là et pourquoi Jan met en jeu l'amour de Maria pour cet experience si sa mère reconnaît son propre fils et pour tous ces histoires de rendre heuerux tout ce qu'il aimait.

On ne doit pas oublier que c'est vraiment la première fois dans cinq ans de mariage que le couple va être séparé - und fait qui me semble assez curieux comparé à des situations que je connais moi-même. Si je ne savais pas la fin triste de cette pièce, je dirais qu'il est grand temps après 5 ans de laisser quelques jours pour les propres idées des deux personnages. Jan semble avoir remarqué cela - mais Maria s'oppose. Elle dit: "La séparation est toujours quelque chose pour ceux qui s'aiment comme il faut." (P.18/l.5) - trad. ev.

Là, je ne suis pas du tout d'accord. Je crois que dans une amour ou encore plus dans un mariage il est absolument necessaire que les partenaires aient de temps pour une fois être seul où comme ici de réaliser ses propre projets. Si on laisse ces temps libres à l'autre, l'amour n'est un déchirement non plus comme le dit Maria (p.19/l.13). Elle ne veut pas entendre que Jan a besoin de ce temps - peut-être seulement parce qu'elle est jaloux de lui comme ELLE n'a pas de propre rêves à réaliser: "Mais moi, je n'ai pas d'autre rêve que ce pays où nous étions heureux, pas d'autre devoir que toi." (p.19/l.1)

Moi, je ne me senterais pas du tout agréable si j'étais tellement possédé dans un mariage. Mais on ne doit pas oublier que si Maria avait convaincu Jan de venir avec elle, elle l'aurait sauvé la vie.